c'est n'importe quoi

Aux quatre coins du Franprix, les magasiniers chantaient en écoutant la radio. J'avais encore l'impression bizarre de jouer dans le film tragicomique "La vie est belle".

J'aimerais un jour que la bobine aille jusqu'au bout, qu'ils jouent au foot avec un melon, que les clients fassent de la musique en tapant sur les conserves, que les lumères s'éteignent tout d'un coup et qu'on s'endorme la tête sur un brique de lait autour d'un feu de cartons. Bref n'importe quoi, plutôt que rien.